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Comment la méthode Mukoko transforme les pertes et manques à gagner en opportunités pour l’économie congolaise.

Dans un contexte économique complexe, où la gestion des ressources pétrolières et la stabilisation des prix sont des enjeux cruciaux pour la République Démocratique du Congo, il est essentiel de clarifier les récentes allégations visant à minimiser les réalisations du Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Économie nationale, Daniel Mukoko Samba. Ces accusations, portées par un groupe d’individus, semblent ignorer les efforts considérables et les résultats probants obtenus sous sa direction comparativement à ses prédécesseurs.

Le secteur pétrolier congolais a historiquement été marqué par des pratiques inefficaces et des pertes importantes. Les ministres précédents ont souvent fait face à des défis sans véritablement apporter de solutions durables. Cependant, l’arrivée de Daniel Mukoko Samba à la tête du ministère a marqué un tournant significatif.
Avec une approche axée sur les résultats, il a réussi à transformer la gestion des ressources pétrolières, offrant enfin des solutions concrètes aux problèmes persistants.

Une distinction majeure de Mukoko par rapport à ses prédécesseurs réside dans sa méthode de travail innovante.
Au lieu de se limiter à des baisses de prix symboliques, il a mis en œuvre des stratégies audacieuses qui ont permis de réduire les prix des produits pétroliers de 12 à 13 % par rapport aux recommandations concrètes du Fonds Monétaire International. Cette diminution a non seulement amélioré le pouvoir d’achat des Congolais, mais a également stimulé l’économie nationale. Ce résultat impressionnant est le fruit d’une gestion rigoureuse, d’un suivi minutieux de la structure des prix et d’une collaboration active avec les acteurs du secteur.

Mukoko a également pris en main la question des pertes et manques à gagner, un problème qui a longtemps miné les finances de l’État. À son arrivée, il a hérité d’un montant alarmant de 287 millions de dollars de pertes certifiées. Grâce à une série d’initiatives, notamment l’établissement d’une Task Force et la mobilisation des banques commerciales, il a réussi à réduire cette somme à 214 millions de dollars en un temps record.
Ce processus a non seulement renforcé la transparence, mais a également permis de récupérer des fonds qui profitent directement au Trésor public.

En moyenne, il a constaté qu’environ 340 millions de dollars étaient considérés comme montants attendus pour les pertes et manques à gagner.
Les travaux de certification de ces pertes, organisés et coordonnés par le VPM Mukoko Samba au 1er semestre 2024, ont permis au pays d’atteindre un niveau de pertes après croisement d’environ 16 millions de dollars.
Il s’agit, une fois de plus, d’un résultat à impact véritable qui a généré des économies pour le pays.

Ce groupe d’individus malintentionnés semble ignorer ces réalisations significatives, préférant se concentrer sur des critiques infondées.
En réalité, la démarche de Mukoko repose sur une gestion moderne, orientée vers les résultats, qui contraste fortement avec les méthodes de ses prédécesseurs.
Il a su établir un système de suivi et d’évaluation efficace, garantissant que chaque action entreprise se traduise par des résultats concrets et mesurables.

Il est crucial de reconnaître que les défis auxquels la RDC fait face sont complexes et souvent enracinés dans des pratiques anciennes, qui favorisaient l’intérêt personnel au détriment de celui du peuple.
Le changement ne se produit pas du jour au lendemain, mais les résultats tangibles obtenus par Mukoko témoignent d’un engagement sérieux pour redresser le secteur pétrolier et renforcer l’économie nationale.

En conclusion, loin de priver Daniel Mukoko Samba de son mérite, il est impératif de reconnaître son rôle déterminant dans la transformation du ministère de l’Économie.
Sa vision claire, ses stratégies audacieuses et son approche axée sur les résultats font de lui un leader qui mérite d’être soutenu et célébré.
Les allégations sans fondement ne sauraient ternir l’impact positif de son travail sur l’économie congolaise.
Il est temps de mettre en avant les faits et de reconnaître les avancées réalisées sous sa direction.

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